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Communiqué - 21/02/2008 09:13

La première banque régionale islamique dédiée aux investissements et besoins de services du secteur de l’énergie est actuellement en cours de constitution avec un capital libéré projeté de 750 millions de dollars américains First Energy Bank est le dernier concept stratégique d’affaires développé par Gulf Finance House conjointement avec des partenaires associés et conçu pour capitaliser sur la forte demande d’investissements dans l’industrie énergétique mondiale. PFC Energy International, compagnie de consulting en énergie leader, sera un conseiller stratégique fournissant analyses approfondies pour la stratégie de développement, l’évaluation des investissements et les décisions commerciales au niveau mondial et régional.

First Energy Bank cible les opportunités d’investissement sur le marché de l’énergie où elle peut capitaliser son expertise et ses relations à travers différents secteurs. La demande du secteur de l’énergie en capital est grande et, selon le rapport mondial Energie 2005 de l’Agence Internationale de l’Energie, l’infrastructure de l’énergie pour la région Moyen Orient Afrique du Nord exige a elle seule approximativement 56 milliards de dollars américains par an d’ici 2030. Ainsi, les besoins du secteur de l’énergie dans la région s’élèveront à 280 milliards de dollars américains durant les cinq prochaines années.

De par son concept visionnaire et son réseau de Cités Energétiques, Gulf Finance House est reconnue comme un pionnier global du 21ème siècle dans les projets de l’énergie. Après l’annonce de leur 4ème projet de Cité Energétique en Libye et le lancement réussi des Cités Energétiques au Qatar et en Inde, la création d’une banque concentrée sur la prestation de services financiers sur-mesure pour le marché énergétique constitue la nouvelle étape logique dans son engagement continu en faveur du secteur.

Commentant la constitution de First Energy Bank, M. Esam Jenahi, Président de Gulf Finance House a déclaré aujourd’hui que « la demande d’investissements dans l’ensemble du secteur de l’énergie au cours des prochains 25 ans est incontestablement importante. First Energy Bank est la réponse à cet impératif et nous sommes heureux d’être associés au concept banque islamique qui sera le premier à offrir en exclusivité l’investissement approprié et les solutions nécessaires pour l’industrie énergétique. La constitution de First Energy Bank démontre notre engagement en faveur du secteur énergétique, fondé sur notre concept de Cités Energétiques, dédiées aux secteurs des affaires.»

De son côté, Mr Vahran Zanoyan, Président Directeur général de PFC Energy International a indiqué aujourd’hui que : « en tant que spécialiste international des affaires énergétique, nous savons combien les besoins en investissements sont uniques. C’est pourquoi, nous avons saisis cette opportunité pour capitaliser sur notre profonde expertise, en partenariat avec Gulf Finance House et œuvrer pour que First Energy Bank devienne le partenaire indispensable du secteur énergétique moderne.»

Selon les estimations de l’Agence Internationale de l’Energie (AIE), la demande mondiale en pétrole augmentera de 1,3 % par an d’ici 2030. Cette demande est appelée à croître de 83.6 millions de barils/jour en 2005 à 91.3 millions de barils/jour en 2010 et 116.3 millions de barils/jour en 2030. En gaz naturel, l’augmentation de la demande est estimée à 2.0% par an durant cette période, soit plus rapidement que celle du pétrole. Pour satisfaire cette demande, 4.3 milliards de millions de nouveaux investissements sont mondialement nécessaires dans le secteur pétrolier d’ici 2030, et approximativement 3.9 milliards de millions sont projetés à être investis dans le secteur du gaz. Près de la moitié de ces investissements seront effectués dans des les marchés de pays émergeants, particulièrement la Chine et l’Inde. Plus que les trois-quarts des investissements pétroliers seront dans des projets upstream (exploration et production). En plus, des investissements upstream sont projetés pour constituer 60% des investissements dans le secteur du gaz naturel.

Un nombre substantiel de ces développements seront mis en place par des promoteurs privés qui ont un concept solide de projet, mais manque de capital et d’expertise intensive de développement, deux éléments cruciaux que First Energy Bank peut fournir en leur apportant une valeur significative. Les compagnies régionales qui concentrent leurs affaires essentiellement sur le secteur de l’énergie, comme les compagnies de services pétroliers locaux qui ont besoin de financement pour capitaliser sur la croissance du secteur seront ciblées en tant que des acquisitions potentielles. Ce flux accroîtra rapidement le nombre d’entreprises acquises alors que l’affiliation entre projets et contractants accélèrera le développement de projets. Ces synergies créeront des avantages compétitifs pour les investissements de First Energy Bank et boosteront les dividendes. Encore plus, les économies des pays du Conseil du Golfe ont connu une période soutenue de croissance économique et de liquidité essentiellement due à la hausse du prix du pétrole. La région a d’excellentes relations commerciales internationales qui offrent des opportunités financières et commerciales.

Une fois établie, First Energy Bank génèrera des dividendes consistants pour ses actionnaires en se concentrant sur le pétrole et les upstream/Downstream, le transport, la pétrochimie, l’énergie et l’IWPP.

Les investissements de First Energy Bank sont prévus pour inclure :

Le développement de projets en Energie : cela consiste en des investissements et prises de participations dans de nouveaux projets qui sont au premier stade de développement où la banque peut agir en tant que partenaire principal ou co-partenaire. Les prises de participations dans ces projets peuvent être syndiquées à travers des placements privés ou des offres publiques pendant 2 ans pour le démarrage réussi des opportunités de développement. Ces projets devront booster les dividendes de la banque à des taux substantiels.

Co-investissement dans des projets de développement : la Banque co-investira dès les premiers stades de développement de projets à côté d’investisseurs stratégiques qui guideront et administreront les activités de développement. En même temps, la banque participera à la gestion, structuration et commercialisation du projet.

Acquisition de portefeuille d’actifs : acquisition de lignes d’affaires ou de portefeuilles d’actifs qui ne sont pas spécifiques à des compagnies ou que des banques souhaitent céder en raison de contraintes financières. Les portefeuilles acquis sont censés générer des revenus stables avec la perspective offerte par la restructuration, la recapitalisation et/ou à travers une offre publique régionale ou internationale d’échange, faisant suite à la restructuration.

Acquisition corporate : Acquisition de banques publiques ou privées qui sont dépréciées ou sous-évaluées sur leurs marchés et dont la valeur peut être augmentée à travers une restructuration plus efficiente, une gestion plus active et/ou un repositionnement stratégique

Mezzanine Capital/Actions préférentielle : les opportunités de mezzanine capital que procure un risque de rentabilité stable seront explorées pour de larges transactions qui ont le potentiel de couvrir le gap entre des dettes internationales seniors, des tranches de dettes islamiques et des dettes arrivées à termes, quand le capital mezzanine peut être structuré et déployé sur des bases soulignant la valeur de l’action.

La Banque elle-même, établira un fond d’investissement qui fournira une partie des financements de projets avec des partenaires stratégiques apportant une expertise technique.

« source businessnews »
Tag(s) : #articles de presse
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