Wikipédia de la fouilleuse : les « W.C »

Wikipédia de la fouilleuse : les « W.C »

Je vais essayer de vous déchiffrer l’écriture SMS  « W.C » en quelques lignes avec des termes que tout le monde peut comprendre.

Les W.C ou les « wanted Compagny »  sont des chercheurs de fric, des ex-humains, affairistes, atteints de la maladie de la richesse. Une maladie contagieuse, progresse discrètement et se fait sentir de plus en plus à travers le pays des merveilles et partout dans le monde.

Les symptômes liés à cette maladie sont l’égoïsme  et l’absence d’idéal social, malgré que les W.C, jouissent d’une collection complète d’abris fiscaux, ils n’ont  d’yeux que pour leurs poches et leurs comptes bancaires, ils se battent pour siphonner les humains de tel sorte que cela est devenu leur mode vie.

A la lumière de la crise financière les W.C sont devenus dangereux, ils prenaient à plein fouet leur crise et  ils s’alliaient avec les V.C (vampires cravatés ou investisseurs-étrangers) pour enfoncer les humains davantage dans une misère sans nom.

Il faut absolument éviter d’attraper cette maladie. Si vous avez un doute, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien.

Mises en gardes spéciales : ces malades doivent être pris sous une haute surveillance médicale, ils représentent un grand danger pour l’humanité.

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Tunisie – Plus de 76 mille travailleurs touchés par la crise économique internationale

Plus de 76 mille travailleurs tunisiens ont été touchés de plein fouet par la crise financière et économique internationale, et ce jusqu’à la fin du mois de décembre 2009, selon les chiffres publiés, récemment, par le Centre d’études et de la législation relevant de l’Union générale des travailleurs tunisiens. L’étude, dont les résultats ont été rapportés par plusieurs sources d’informations, locales et étrangères, précise que les travailleurs tunisiens ont subi d’une façon inégale les retombées de la crise. Les effets varient entre la perte de l’emploi, la cession du contrat, le chômage technique ou encore la réduction du temps de travail.
L’étude précise, par ailleurs, que 4200 travailleurs ont perdu leur emploi dès le début de la crise é et jusqu’à la fin de l’année écoulée. A cela s’ajoutent quelque 11 mille travailleurs qui ont été placés en chômage temporaire pour des périodes variant entre 10 jours et deux mois. Dans cette même veine, la réduction du temps de travail a touché 70 mille travailleurs, une réduction oscillant de 5 à 24 heures par semaine.

L’étude a souligné, en outre, que les secteurs du Textile et Habillement, des industries électroniques et mécaniques (IME) semblent les plus affectées par les retombées de la crise, suivies par les secteurs de la transformation du plastique et des chaussures. Le bilan montre, à cet égard, qu’au total, 143 entreprises, exerçant dans le Textile et Habillement et 55 autres, opérant dans le secteurs des IME, ont été gravement frôlées par la crise.
Il est à signaler, toujours d’après l’étude, que les entreprises totalement exportatrices ont été les premières victimes de la crise économique internationale. Environ 287 entreprises, dont 97 tunisiennes, 61 française et 50 italiennes, ont été les plus affectées.
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